Chansons de Lostyron par Cristos

Lostyron
Soif

Je ressens souvent ce sentiment bestial
Ce besoin de déchaîner ma fureur, sentiment glacial
Une envie de faire payer ceux qui le méritent
Nombreuse sont en ce monde, les choses qui m’irritent
Mon jugement est prompt à qualifier l’ennemi
J’ai besoins de violence pour donner goût à ma vie
Un paradoxe propre à l’espèce humaine
Espoir noir qu’un combat sanglant advienne
Maudite rage que mon environnement encense
Sauvagerie, prisonnière des barreaux de ma conscience


Nature humaine, jouir de la haine
Rien n’étanche la soif de sang

La croissance exponentielle me retourne l’estomac (sûrement à supprimer)
Je veux tout brûler pour repartir à zéro
Dans cet univers, un boucher peut devenir un héros
La violence est une plaie qui nous est nécessaire
Même l’évolution ne semble pouvoir nous en défaire
Les nobles causes sont nombreuses en ce monde
Autant d’excuses pour justifier la fronde
Tout ce que je vous dis ici, je le pense sans hésitation
Rien dans l’histoire ne déconforte mon opinion

Le crime semble être un besoin vital
Prendre la femme d’un autre, assouvir sa soif génitale
Ôter des vies, se prendre pour un dieu
Fierté, honneur mal placé, sentiment odieux
J’ai besoin d’une guerre pour pouvoir me calmer
Parfois je ne suis plus moi, mais Ares incarné
La violence gratuite n’étanche pas ma soif
La haine totale sera mon épitaphe


Nature humaine, jouir de la haine
Rien n’étanche la soif de sang

Lostyron
Mjollnirwork

L’argent est cause de la cécité de l’humanité
Au dessus de tout même de la vérité
Rien ne lui résiste tant qu’il provoque l’envie
Il donne un prix a tout, y compris à la vie
Je voudrais trancher à vif ce nouveau dieu
Ou est la leçon du souvenir de nos aïeux
Abattre la cupidité à grand coup de fraternité
Je ne vois aucune grandeur dans l’uniformité

Tu n’échapperas pas à la règle
Divin Thor je fais appel à toi
La cupidité t’aura à l’usure
Frappe fort, remet nous dans le droit chemin

Déchaîne ta foudre
Exprime ta fureur
Craignez la colère de Mjollnir

Toute noblesse a disparue quand le paganisme est tombé
L’amour de la nature semble être oublié
L’égoïsme triomphant dans tous nos esprits maudis
De ce fait, l’humanité est devenus une maladie
Il est si facile de manipuler les Hommes
Le monothéisme donne raisons pour tout
La liberté d’un homme le rendrait bien jaloux
Rien ne sert de réfléchir, religion avec soit
Un outil puissant pour imposer sa loi

Le respect ne te fera pas avancer
Divin Thor aide nous
Ne pense qu’à ton propre plaisir
Met fin au règne de l’égoïsme

Déchaîne ta foudre
Exprime ta fureur
Ecrase notre fierté

La colère divine s’exprime en moi
Je veux tout détruire pour reforger la loi
Le temps de la tolérance est désormais bien lointain
Epoque ou la foi en Freyja était dure comme l’airain
Un seul avec elle, promesse d’une vie merveilleuse
Nous offrant tout, amour et protection vigoureuse
L’Homme est devenu un virus, son seul but est de s’accroître
Serviteur de la nature il est désormais son goitre (yeah)

Quelle stupidité de vouloir m’échapper
Divin Thor je fais appel à toi
Tu n’échapperas pas à la loi
Frappe fort, remet nous dans le droit chemin

Déchaîne ta foudre
Exprime ta fureur
Abreuve ton marteau
Efface nos erreurs

Lostyron
L’agonie de Freyja

De ma vie, j’ai arpenté de nombreuses contrées éloignées
Paysages glacés ou la neige remplace les étoiles
Foret verte et généreuse, protectrice des âmes bienveillantes
Terre rocheuses et escarpées, assaillies par des vagues grondantes

Dans chaque un de ces lieux, je cherchais quelque choses
Je ne sais pas moi-même de quoi il s’agissait
Cet éloignement semblait pouvoir me forger
Mon esprit en mouvement ne prend jamais de pause

Mes rêves sont sombres
Notre mère est en danger
Tout ce qui fut risque d’être oublié
Je veux agir mais je me sens impuissant
Ô nature aide moi, oui donne moi l’espoir

Aujourd’hui, ma terre natale me manque
Celle qui m’a élevé, qui m’a toujours protégé
Ce village si familier, parfois détesté a toujours su me retrouver
Je pense à ma foret, gardienne de mon cœur, de mon identité

La vie semble n’être qu’une quête dont on ignore le but
Un voyage de tant de plaisirs vers plus de souffrances
L’amour de mère nature est là pour nous aider
Ceux qui n’en n’ont que faire sembles bien artificielle
Hélas elle se meurt et la peur m’habite
Celle qui nous a tous créé pourrait bien avoir à le regretter

Mes rêves sont sombres
Notre mère est en danger
Tout ce qui fut risque d’être oublié

Mère, reste avec moi
Mère ne t’en va pas
Mère j’ai besoin de toi
Mère tu es tout pour moi

Lostyron
Bouclier


La sournoiserie est maîtresse dans le monde ou nous vivons
Difficile d’y échapper, facile de se blesser
Les pièges sont nombreux, la culture du moi en fait un feu
Ta santé mentale est en enjeu, cette guerre n’est pas un jeu
La solidarité devient rare et la bonté est traquée sans pitié

Le mépris malsain, qu’ils éveillent en leur sein
Leurs paroles cachées qui ne peuvent s’envoler
Les pauvres aveuglés, qu’y veulent ils comploter
Leur dires ne sont rien pour tout ce qui est mien
Ils se croient si malins, leur chute fera leur bien

Mon honneur est mon bouclier
Dur comme le chêne, il résiste à la haine
Les coups de l’adversaire sont puissants
Il n’en devra que plus épais

Ne crains pas l’humiliation, mais la soumission
La gloire de l’Homme est peu, l’honneur est presque tout
L’esprit ne peu pas vivre s’il se met à genoux
La gloire n’est qu’un titre qui empoisonne l’esprit
Qui agis sans l’honneur, contrairement aux avis
L’honneur est une flamme qui ne consume pas l’âme
Mais la conserve de tout et la rend dure comme lame
Une barrière qui nous fait rester civilisés
Et qui aux yeux des dieux, nous permet d’exister

Le mépris malsain, qu’ils éveillent en leur sein
Leurs paroles cachées qui ne peuvent s’envoler
Les pauvres aveuglés, qu’y veulent ils comploter
Leur dires ne sont rien pour tout ce qui est mien
Ils se croient si malins, leur chute fera leur bien

Mon honneur est mon bouclier
Dur comme le chêne, il résiste à la haine
Les coups de l’adversaire sont puissants
Il n’en devra que plus épais

Lostyron
Esclave

J’en ai assez d’être une ombre
Qu’une autre personne creuse ma tombe
Je ne sens plus rien, las de n’être plus tien

Mon cœur est en larme, soumis à ton charme
Percé de cette flèche, mon âme n’est qu’une brèche
Consumé de cette flamme, brisé par la beauté de tes armes

Espoir tu m’avais donné, de suite il me fut dérobé
Victoire je crus pouvoir crier, le passeur m’a bien vite rattrapé

Un sentiment aussi vital que cruel
L’espoir est dans le contrôle de soi
Ton esprit, lui te sera toujours fidèle
Tu peux te libérer si tu forges ta propre foi

Cette lumière que l’on nomme amour, n’a fait qu’obscurcir mes jours
Je pus goutter le plaisir éphémère, d’un olympe, loin de toute misère
La douceur de ces velours, devenue douleur en retour

Amour qui m’avais gagné, implacable foudre
M’a de suite assassiné, acide jeté pour me dissoudre

La flèche arrachée, grande tristesse, m’a fait trébucher dans l’Hadès
Ta perfection ne me fit hésiter, car l’amour je pus enfin nommer
Je pus adorer une déesse, cruel destin a révélé mes faiblesses

Un sentiment aussi vital que cruel
L’espoir est dans le contrôle de soi
Ton esprit lui te sera toujours fidèle
Tu peu te libérer si tu forges ta propre loi

La lutte continue contre un néant absolu
Combat que j’ai dés lors perdus
Amour tu m’as vaincu

Je suis maudit
Amour tu as été sali